ANICES, sous le soleil exactement !

Il est 8 heures, ce dimanche 9 janvier. Ils sont 15 dans le local de l’Association ANICES, ils font connaissance. Il faut dire que les « anciens », Pascal, Céline, Jp, Marie, [...]
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    Il est 8 heures, ce dimanche 9 janvier. Ils sont 15 dans le local de l’Association ANICES, ils font connaissance. Il faut dire que les « anciens », Pascal, Céline, Jp, Marie, Vanessa, Audrey, Gilbert, Matthieu et Fany, ne connaissent pas forcément les « nouveaux », Sophie, Fany, Pierre, Sandra, Bruno et Hélène.

    Tout ce petit monde se répartit, avec nos deux fidèles compagnons Nassila et Naiko, dans les véhicules, pour un départ vers Puget Rostang, atteint environ 1h30 plus tard.

    Petit village bien tranquille, sur lequel je n’ai cependant rien de particulier à dire, si ce n’est que ;… Non vraiment rien en fait.

    Nous montons sur un petit chemin régulier pendant environ 400 mètres de dénivelée, pour atteindre le village d’Auvare, où nous sommes accueillis par deux aimables jeunes patous, dont nous mettons cependant du temps à percevoir l’amabilité. Une petite ruine d’aire de battage de céréales aggrémente le parcours, disons que c’est plutôt notre guide Matthieu qui vient une fois de plus éclairer nos esprits frustes de quelques anecdotes historiques et culturelles.

    Le repas se déroule à quelques encâblures au-dessus du village, à l’ombre et sur des rochers. Nous découvrirons un peu plus tard qu’à quelques dizaines de mètres près, il aurait pu se déroulé dans les prés, en plein soleil….. Prés que choisit finalement Matthieu pour sa sieste hebdomadaire bien méritée. Comme dit le proverbe Corse, « une petite sieste et hop, au lit ! ».

    La redescente vers Puget Rostang se fit ensuite sans encombres, mis à part une piste interminable, faute d’une alternative très praticable via le chemin.

    Les mails sont souvent pourvoyeurs de promesses non tenues : j’en veux pour preuve celle d’un pot de l’amitié à Puget Theniers.

    C’était mal connaître la célèbre convivialité de nos villages Azuréens qui, se sentant sans doute envahis par un afflux touristique insupportable, singent souvent les Russes devant l’Armée Napoléonienne, en pratiquant, en guise de politique de la « terre brûlée », celle du « bar fermé ». 

    Donc un retour à Nice sans tambours ni trompettes, juste dans l’espoir du prochain plaisir renouvelé de nous retrouver sur nos chemins.

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