Anices, vive le Brest (Brevet du Randonneur de l’ESTérel) !

Pour ce brevet de randonnée, 5 membres de l’association ont répondu présents : Claire Christelle, Bruno, Pascal (dit Luigi) et Jp. Départ à 6 heures, avec notre chauffeur Insoim, direction [...]
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    Pour ce brevet de randonnée, 5 membres de l’association ont répondu présents : Claire Christelle, Bruno, Pascal (dit Luigi) et Jp.

    Départ à 6 heures, avec notre chauffeur Insoim, direction l’Esterel.

    Nous devions rejoindre les participants directement au Col Notre Dame, mais ne sachant pas y aller, nous nous sommes rabattus sur la maison forestière de Roussiveau, rendez-vous de l’ensemble des participants, que nous atteindrons vers 8h30, donc trop tard pour la petite collation du matin.

    Direction le Col Notre Dame avec l’ensemble des véhicules, et 3 pensionnaires de plus dans le nôtre : le covoiturage était de rigueur.

    Départ vers 8h40, facile ! ça descend un peu, c’est très sympa, on marche au bord de la mer, on parle, on parle (et quand je dis « on » certains se reconnaîtront) et on perd donc du temps. Mais pas grave ! ça remonte un peu, ça redescend, sans trop de difficultés.

    Ça dure comme ça jusque vers 11h15, et là nous devons remonter un truc que je ne mettrai pas entre toutes les mains : le fameux cap Roux.

    Comment dire : ça monte raide pendant 450 mètres environ, sans pause, dans un chemin où pas après pas, on se demande où poser les pieds. Parfois je me demandais même si nous étions bien sur un chemin, mais oui apparemment.

    En haut, un super point de vue, que nous atteindrons je pense vers 12h30, et surtout une table de pointage.
    Mais le point de ravitaillement n’est pas là, il faut encore descendre dans de la caillasse de rêve pendant ¾ d’heures pour l’atteindre enfin !

    Un ravito bien garni, avec tout ce qu’il faut !

    On repart 20 minutes plus tard pour la descente, qui, comparé à ce que nous avions vécu le matin, ne représenta finalement pas de grandes difficultés. Un soleil de plomb d’abord, supplanté par un crachin bretonnant (eh oui, le Brest faut pas l’oublier), relayé par une pluie un peu plus soutenue.

    Luc, le serre-fil de notre groupe des 20 kilomètres dont l’aide nous fut si précieuse, nous déconseilla de prendre le dernier chemin difficile qui devait parachever le parcours : nous choisîmes donc la route, pour une question de sécurité.

    Nous atteindrons finalement l’arrivée vers 17h. Vite, une bière !

    Retour dans nos pénates avec le sentiment d’avoir passé une bonne journée et de nous être bien dépensés !

    A refaire !

    Issa !

    JP

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